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Conversation sur l’impact des déchets électroniques sur l’environnement et la santé

Conversation sur l’impact des déchets électroniques sur l’environnement et la santé

Le vendredi 5 Juillet 2024 on a célébré le panel conversation La TASSE des IDÉES, inscrit dans le cadre du projet IDÉES, impact des déchets électroniques sur l’environnement et la santé. Il a eu lieu a Karibu, espace d’accueil et hébergement pour les défenseurs africaines de rencontres de dialogue, de production de savoirs et de connaissances sur les mouvements citoyens.

La motivation pour mettre en place cette conversation c’est le réflexion sur l’impact de la technologie électronique, surtout celle lié au TIC. On a vu comme en 20 ou 30 ans, quand les TIC on commencé a arriver au grand public, on passé d’une imaginaire où l’objectif c’était la démocratisation du savoir et donnant accès universelle aux connaissances a la citoyenneté sans intermédiaires, de manière décentralisé et où la création et communication était coopérative, collaborative et basée sur le partage.
Cette imaginaire a été déplacé par le solutionnisme technologique de BIGTECH, et l´humaine est devenu périphérique de la machine, et l’impact semble intangible, virtuelle.

Dans cette conversation on a voulu montré la tangibilité de l’impact de la technologie, spécifiquement les déchets électroniques sur l’environnement et la santé. Ainsi, on a parlé de la extraction minière, des ressources naturelles tel comme l’eau, le terrain, l’énergie impliqué dans la production et consommation de TIC. On a rappelé le génocide du Congo, avec plus de 6 million de morts, millions de déplaces et 48 femmes violés par heure, dans un conflit qui a au centre l’extractivisme pour la production de technologie. On fait face a un nouveau type de colonialisme, le technocolonialisme.

En sachant que la production mondiale de smartphones c’est de 1300 millions par an, on peut que se poser la question, oú vont les vieux smartphones, ceux qui ont utilise plus. Une des premières réponses qu’on trouve c’est au Ghana, Agbogbloshie, est la plus grand décharge africaine, spécialement de l’Afrique de l’Ouest.

Au Sénégal, on trouve plusieurs recherches fait par le groupe de travail de déchets électroniques de la UCAD, il y a un travail fait depuis 2008, mais pour le moment il y a pas une loi qui règle la problématique des déchets électroniques, sa collecte, recyclage et récupération.

Alors si bien, la recherche scientifique est fait, le langage utilisé est trop technique, scientifique pour que le grand publique peut comprendre le vrai impact des e-déchets sur l’environnement et la santé des populations, jusqu’à rentrer dans la chaîne alimentaire.

Afin de faciliter la transmission de ces connaissances, nous souhaitons utiliser différentes formes artistiques (rap, théâtre, danse, performance, etc.) pour lesquelles l’implication des artistes est essentielle.

Par ailleurs, malgré tous les effets négatifs des déchets électroniques, nous souhaitons également mettre en avant les opportunités qui y sont associées, comme le développement de l’économie circulaire.

Ce vendredi, pendant 2h on a développé une conversation entre les panélistes,

M. Cheikhou GASSAMA – Chef de division E-déchets de Sénégal numérique, XumanArtiste, Abdoulaye SENEZéro déchet Sénégal, Anäel NKEOUA – Prince ArtArtist comédien, Agudor Kwaku AGABAS – Fundateur & CEO Appclyclers. Moderatrice: Carolina García CatañoNit TeknaLogik

On veut remercier spécialement a la LTC (La télé citoyenne) le retransmision en direct du panel sur leur Facebook , avoir facilité la présence en ligne de deux de nos panélistes, et en nous donnant aussi la opportunité de partagé le panel.